Rien n’est plus beau…
Rien n’est plus beau, nous dirons presque majestueux, comme les opérations que la main de l’homme fait subir au fer.
Partout, vous voyez, comme une fourmillière, des hommes, au noir visage, aux mains puissantes, revêtus parfois de longues chemises, manier avec de longues pinces de lourdes masses de fer.
[…] Ce fer est rouge-blanc et tellement lumineux qu’on serait aveuglé à le regarder fixement quelques instants.
L’Illustration, 30 août 1845, cité dans : Les travailleurs du fer, Jean-Yves Andrieux, Découvertes Gallimard, 1991